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24/10/2007

1ère : Wang-fô...

En guise d'introduction à votre lecture de Comment Wang-fô fut sauvé... cette présentation très réussie de ce texte et de son auteur (Marguerite !)  sur un blog perso qui fait plaisir à lire... Et vous, quels seront vos livres "bingo" ?

 

Cliquez sur  http://posuto.blog.lemonde.fr/2007/05/29/lideradure/ 

 

Voir aussi l'article Wikipedia, sans hésiter à cliquer sur les liens divers.

Un CLIC et vous y êtes ! 

11/10/2007

Ière : Un humaniste : Alain Souchon...!!

En complément du texte de Montaigne étudié en classe, il m'a semblé intéressant de vous donner ici les paroles formidables (comme d'hab ! ) d'une chanson d'Alain Souchon...

Si vous pouvez aussi l'écouter, c'est encore mieux...

 La vie ne vaut rien
   
Il a tourné sa vie dans tous les sens
Pour savoir si ça avait un sens l'existence
Il a demandé leur avis à des tas de gens ravis
Ravis, ravis, de donner leur avis sur la vie
Il a traversé les vapeurs des derviches tourneurs
Des haschich fumeurs et il a dit

La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie,

Il a vu l'espace qui passe
Entre la jet set les fastes, les palaces
Et puis les techniciens de surface,
D'autres espèrent dans les clochers, les monastères
Voir le vieux sergent pépère mais ce n'est que Richard Gere,
Il est entré comme un insecte sur site d'Internet
Voir les gens des sectes et il a dit

La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie

Il a vu manque d'amour, manque d'argent
Comme la vie c'est détergeant
Et comme ça nettoie les gens,
Il a joué jeux interdit pour des amis endormis,
Et il a dit

La vie ne vaut rien, rien, rien, la vie ne vaut rien
Mais moi quand je tiens, tiens,
Là dans mes mains éblouies,
Les deux jolis petits seins de mon amie,
Là je dis rien, rien, rien, rien ne vaut la vie
 

06/04/2007

Term L : des planches...

Une citation de Paul Valéry... qui nous refait penser aux planches courbes de Bonnefoy...

 

« Les mots sont comme des planches jetés sur un abîme sur lesquelles on peut passer rapidement,  

mais qui cèdent si l'on s'y arrête.» 

 

 

mais aussi un petit tercet de Gil Jouannard, poète contemporain :

 "Une planche, un clou,

Souvenir flou de la montagne

Qui porta l'arbre, qui couva le minerai."
                   

03/04/2007

Term L : en complément...

du cours et des manuels, vous pouvez aller lire cette remarquable analyse d'ensemble. Nourrissez-vous ! Vous ne retiendrez pas tout, mais il en restera toujours quelque chose, et c'est peut-être ce "petit" quelque chose qui vous aidera de façon déterminante le jour de l'examen. Profitez de toutes les occasions. En même temps, ne vous noyez pas non plus dans des analyses qui peuvent vous paraître trop ambitieuses. Lisez et comprenne qui pourra ! Ce genre de lecture est un travail "de fond"... à côté duquel il faut évidemment aussi construire quelques synthèses simples et claires (fiches ?) auxquelles vous revenez pour baliser votre mémoire...

Allez courage ! C'est tout de même un luxe merveilleux de pouvoir passer du temps sur ces oeuvres, vous ne

trouvez pas ? 

02/04/2007

Term L : un apologue...

Par le hasard de mes errances sur la toile... je tombe sur ce très court apologue... qui peut vous être utile en philo aussi...

 

  Par une froide journée d'hiver, un troupeau de porcs-épics s'était mis en groupe serré pour se garantir mutuellement contre la gelée par leur propre chaleur. Mais tout aussitôt ils ressentirent les atteintes de leurs piquants, ce qui les fit s'éloigner les uns des autres. Quand le besoin de se chauffer les eut rapprochés de nouveau, le même inconvénient se renouvela, de façon qu'ils étaient ballottés de çà et de là entre les deux souffrances, jusqu'à ce qu'ils eussent fini par trouver une distance moyenne qui leur rendit la situation supportable. Ainsi, le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur propre intérieur, pousse les hommes les uns vers les autres; mais leurs nombreuses qualités repoussantes et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières. En Angleterre, on crie à celui qui ne se tient pas à distance : Keep your distance! - Par ce moyen, le besoin de chauffage mutuel n'est, à la vérité, satisfait qu'à moitié, mais en revanche on ne ressent pas la blessure des piquants. - Celui-là cependant qui possède beaucoup de calorique propre préfère rester en dehors de la société pour n'éprouver ni ne causer de peine.

Arthur SCHOPENHAUER, Parerga et Paralipomena (1851)

18/12/2006

Term L : en attendant Cendrillon...

En attendant janvier et les contes de Perrault, voici encore un exemple de récupération par la publicité ...

Cliquez pour agrandir ! 

 

medium_pyg012.jpg

 

14/12/2006

Une devise shadok !

On a toujours besoin d 'un petit rappel shadok...

Voici un petit aphorisme pour la fin de l'année.

Cliquez pour agrandir et lire ! 

 

medium_Shaddock_devise0.jpg

 

28/11/2006

Term L : correction du "micro-test"

A lire ci-dessous... une réponse à la question : " Le recueil Les planches courbes vous semble-t-il hermétique ? " .

Lire la suite

26/11/2006

Term L : Bonnefoy : un autre leurre...

(...) Mais toujours et distinctement je vois aussi
La tache noire dans l’image, j’entends le cri
Qui perce la musique, je sais en moi
La misère du sens. Non, ce n’est pas
Aux transfigurations que peut prétendre
Notre lieu, en son mal, je dis l’espoir,
Sa joie, son feu même de grappe immense, quand
L’éclair de chaque nuit frappe à la vitre, quand
Les choses se rassemblent dans l’éclair
Comme au lieu d’origine, et les chemins
Luiraient dans les jardins de l’éclair, la beauté
Y porterait ses pas errants... Je dis le rêve,
Mais ce n’est que pour le repos de mots blessés.

Dans le Leurre du seuil, 1975

Term L : Bonnefoy

Une très bonne étude du recueil avec notamment une intéressante synthèse sur le titre et un lexique des termes de l'analyse poétique.